Sommaire
S’il y a bien un sujet qui fait débat, particulièrement lorsque l’on a de jeunes enfants, c’est la méthode utilisée pour prendre soin des oreilles. Coton-tige, cure-oreille, cérumen, on vous dit tout sur ces organes aussi précieux que fragiles, et quelle méthode est la plus adaptée pour en prendre soin.
Le cérumen, c’est naturel
Parlons tout d’abord du cérumen. Cette sécrétion naturelle, si elle peut paraître disgracieuse lorsqu’elle se trouve en quantités importantes, est pourtant là pour protéger notre corps de nombreuses agressions externes et autres tentatives d’intrusion. Il évite donc que trop de poussières, de microbes, de germes voire d’insectes ne rentrent dans l’oreille. Il en va de même pour les infections et bactéries qui sont limitées par ce cérumen. Il est donc contre-productif de le retirer tous les jours, mais de choisir un rythme, selon les experts, plus proche d’une semaine. Un petit lavage au savon sera suffisant le reste du temps.
La problématique du coton-tige
Très utilisé à travers le monde, le coton-tige a pourtant ses limites. Lorsqu’il est mal utilisé, il peut en effet blesser votre oreille ou, plus souvent, pousser le cérumen au fond de votre oreille et ainsi créer une gêne auditive, voire former un bouchon qui devra être retiré par un professionnel afin d’éviter tout dommage. En outre, sans cette sécrétion hydratante qu’est le cérumen, le coton-tige pourra finir par irriter votre peau.
Le cure-oreille : une bonne solution
Le cure-oreille est composé d’un petit arceau en métal qui permet de récupérer le cérumen lorsqu’il est trop épais. À la différence du coton-tige, il ne risque pas de créer un bouchon et sa taille permet de limiter les risques de blessure. En outre, le cure-oreille est le plus souvent réutilisable ce qui permet de limiter le fléau écologique qu’est le coton-tige. Adapté à toute la famille, le cure-oreille mérite toute votre attention, et nous vous invitons à l’essayer.